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Suscitant un engouement de plus en plus grand chez les consommateurs, le gin français continue son ascension. Les opérateurs combinent la valorisation et le respect du terroir, avec une approche locale écologiquement responsable. C’est le cas d’Anaë, récemment lancé par les équipes du groupe Bollinger. Audacieux, ce nouveau gin coche toutes les cases d’un spiritueux responsable, ancré dans les racines françaises et plus particulièrement charentaises.

Dans le sillon creusé ces dernières années par Citadelle (Maison Ferrand), G’Vine (Villevert) ou plus récemment Melifera, le gin français continue son ascension. L’une des tendances de fond combine respect de l’environnement et des terroirs qu’emprunte les différentes distilleries. Anaë Gin en est la parfaite illustration.

Projet entrepreneurial du groupe Bollinger, c’est avant tout un spiritueux qui « a du sens et qui allie authenticité et savoir-faire » précise Pauline Raffaitin créatrice de ce nouveau gin. Accompagné par Dominique Touteau, Maître de Chais des cognac Delamain, de Philippe Laclie (Distillerie Bercloux) et Guillaume Quenza (co-fondateur du bar Fréquence et bartender), le quatuor s’est allié, pour donner naissance à ce gin.

La quête de finesse, d’élégance

Le choix des producteurs des botaniques, toutes certifiées Ecocert (baies de maceron, thym citronné, fleurs de bleuet, camomille, graines de coriandre, fenugrec et verveine citronnée), leur soucis de transparence et de traçabilité ont été placés au cœur de la démarche.

La complexité aromatique résonne à la dégustation.

Ainsi un savant équilibre entre agrumes et poire fraîche se dessine en bouche laissant ensuite la place aux poivres, aux épices et à l »anis. En bouche l’onctuosité et la fraîcheur sont renforcées par des arômes plus racinaires qui se déclinent sur une finale subtilement mentholée. « S’il se déguste parfaitement seul, la richesse et la puissance aromatique d’Anaë offrent une infinité de possibilités » précise Guillaume Quenza.

Enfin, rappelons qu’Anaë gin, s’associe avec des apiculteurs bio de la région cognaçaise. C’est le meilleur moyen de préserver et de financer des ruches, maillon essentiel puisque prés de 80% des espèces végétales utilisées pour Anaë, proviennent du travail des abeilles.

Anaë Gin – 70cl – 43% – 45 €uros prix PVC

 

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