Il arrive qu’au détour du rayon d’une cave ou d’un marchand de spiritueux, on tombe sur lui. Oui, lui, l’alcool à la provenance indéfinissable, l’étiquette peut être austère ou facétieuse, elle n’apporte que peu d’informations et les ingrédients listés semblent venir d’une autre planète. Pour ne pas sombrer dans un abîme de perplexité, parcourez ce dossier.
-On aime bien les grands retours. Et s’ils sont français, c’est encore mieux. Il s’agit d’un vermouth blanc du nom de Comoz, qui a fait les beaux jours des cocktails cubains.
-Lorsque l’on pense “anisé”, le premier pays qui vient à l’esprit n’est pas forcément l’Espagne. Et pourtant c’est en Andalousie dans le petit village blanc d’Ojén que l’on produit un anisé, appelé sobrement Ojen Anisé.
-Très populaire dans les pays du nord de l’Europe, ceux où il fait froid, l’aquavit est un alcool traditionnel Danois, que les gens du pays préparent et consomment depuis à peu près cinq siècles. Ce qui fait beaucoup de bouteilles descendues à l’heure actuelle.
-Élixir d’élixirs, la liqueur du docteur Fernet a une histoire quelque peu rocambolesque. On y trouve un apothicaire autodidacte italien, un médecin suédois, des ancêtres vivants plus de 110 ans et des disciples d’Hippocrate bien contents de pouvoir se rincer le gosier.
-Acteurs marquants du long siècle français de l’apéritif allant de 1850 à 1970, les quinquinas, qui mêlent vin fortifié avec épices, racines et plantes, tente un retour en grâce en se rapprochant de ses valeurs historiques.
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