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St Raphaël, l’une des marques d’apéritif les plus gauloises du marché, entame un nouveau chapitre de sa longue, très longue histoire. Avec les Quinas, deux nouvelles références apparaissent dans la gamme traditionnelle, abordant de plein fouet la scène Mixologie.

« Suivez moi, c’est le goût qui compte » titré en toute lettre un slogan publicitaire mettant en scène Dalida et une bouteille de St Raphaël. Nous sommes en 1975 et depuis des décennies déjà, l’apéritif à base de mistelles, de vin et d’épices inonde les réclames des magazines. En 1954, elle investit même dans le sport et sponsorise durant une décennie, une équipe engagée sur le Tour de France.

Autre temps, autre époque, la marque aux deux garçons de café, le logo iconique du graphiste Chalres Loupot en 1938, étoffe sa gamme en propose deux nouvelles références, les Quinas. La recette traditionnelle du St Raphaël a été relevé en épices, le cacao notamment, les bois de quinquina et de colombo apportent, eux, de la rondeur et une bonne structure tannique. On appréciera également la complexité aromatique des notes d’écorces d’orange, de chocolat et de vanille.

Si les Quinas s’apprécient sur glace, il sont aussi un joli terrain de jeu pour les bartenders. Créations ou revisites de classiques comme ce French Negroni (6cl de Quinas, 1,5cl de Gentiane et 1,5 cl de gin), St Raphaël apparaît toujours aujourd’hui comme l’avait imaginé son créateur, le pharmacien lyonnais Adémar Juppet en 1830 : un breuvage magique.

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