Afin de lutter contre ce crime la contrefaçon de whisky, des chercheurs de l’université de Glasgowont développés une « langue artificielle ». Ce dispositif, qui pourrait aussi servir de contrôle qualité, fait la différence entre des whiskies de 12, 15 ou 18 ans et peut discerner dans quel type de fûts ils ont vieilli. Un effort technologique salué par Annabel Meikle, directrice de la confrérie écossaise des Keepers of the Quaich.